L’âge, on s’en tape vraiment ?

Les années passent, les codes changent, et c’est plus que certainement le cas en matière de beauté. Désormais, « le soleil est devenu le responsable numéro un du vieillissement de la peau », lit-on dans « Elle ». Et « celles qui traquaient le gras raffolent aujourd’hui des sardines et du maquereau (poissons ultra-gras mais hautement recommandés pour leur apport en oméga 3 et 6, bénéfiques à tous points de vue) ». Deux certitudes ressortent de ce dossier intitulé « L’âge on s’en tape ». Primo, il faut s’appliquer des soins ciblés ou généralistes avec régularité. Le mannequin Christy Turlington, mère de trois enfants, fait du yoga, court et surtout, elle aussi, use de « soins hydratants ». Jolie, elle compte pourtant déjà 47 printemps ! Et justement, à 40 ans, découvre-t-on également dans ce magazine, les femmes doivent surtout lutter contre les prémices de la ménopause. Comment ? C’est le second point : en mettant « en place une légère thérapie de substitution ». « À la ménopause, on prend de deux à cinq kilos », explique un expert dans ces colonnes. « Si l’on opte pour une substitution hormonale, la prise de poids se limite à la première année ». Sinon ? « Sans, elle durerait cinq ans. » Trop tard ? Les kilos se sont installés ? Le sport ne permet plus de maigrir ? Même s’il prime à chacune d’accepter du mieux qu’elle peut ses défauts, une liposuccion tombe bien souvent à point…