Alopécie et greffe de cheveux : informations générales

Quelle que soit l’époque ou la société concernée, il semblerait que la chevelure fasse partie de ces quelques critères immuables de beauté. Qui pourrait en effet considérer une chevelure douce et ample comme un handicap, un défaut, un désavantage ? Tout le monde rêve d’une belle chevelure. Ce désir commun explique donc que certaines personnes vivent mal la perte de leur cheveux et envisagent la microgreffe capillaire pour remédier à ce problème.

La cause principale de la chute des cheveux est l’hérédité, d’où le nom d’alopécie androgénétique. Concrètement, les androgènes (et notamment la testostérone, fabriquée par les gonades mâles et par les glandes surrénales) vont interférer avec une enzyme pour produire le facteur qui va activer la calvitie : le DHT, ou dihydrotestostérone.

Bien entendu, le facteur héréditaire n’est pas l’unique source de la chute des cheveux. Celle-ci peut également être causée par des troubles psychologiques (stress, traumatisme) ou alimentaires (une carence due à un régime inapproprié, par exemple) qui viennent amplifier ce facteur génétique. Certaines médications, anesthésies, opérations, inflammations (telles que le lichen plan pilaire, la pelade ou encore le lupus) peuvent favoriser la chute des cheveux, tout comme l’accouchement chez la femme.

Dans aucun cas l’alopécie ne peut être considérée comme une maladie.

La chute de la chevelure débute toujours par une réduction du volume et de la masse des cheveux. Cette réduction se produit plus ou moins rapidement, pour un résultat différent en fonction de l’individu touché.
Cette réduction de masse est due à une modification de la nature du cheveu et de la durée de son cycle.

En effet, chaque cheveu est programmé pour environ 25 cycles durant entre deux et six ans. En temps normal, chaque individu possède donc un nombre de cheveux relativement constant, bien qu’il puisse en perdre une centaine quotidiennement : il existe ainsi un équilibre entre les cheveux en phase télogène (dormante) et anagène (pousse).

Or, en cas d’alopécie, l’équilibre est rompu. On observe une miniaturisation et une perte de coloration de la chevelure sur certaines parties du cuir chevelu ainsi qu’une réduction du nombre de cheveux par follicule et un rétrécissement de la durée des cycles. Le volume et la masse de la chevelure diminuent, sans prédiction possible du stade final.

La chute de la chevelure débute toujours par une réduction du volume et de la masse des cheveux. Cette réduction se produit plus ou moins rapidement, pour un résultat différent en fonction de l’individu touché.
Cette réduction de masse est due à une modification de la nature du cheveu et de la durée de son cycle.

En effet, chaque cheveu est programmé pour environ 25 cycles durant entre deux et six ans. En temps normal, chaque individu possède donc un nombre de cheveux relativement constant, bien qu’il puisse en perdre une centaine quotidiennement : il existe ainsi un équilibre entre les cheveux en phase télogène (dormante) et anagène (pousse).

Or, en cas d’alopécie, l’équilibre est rompu. On observe une miniaturisation et une perte de coloration de la chevelure sur certaines parties du cuir chevelu ainsi qu’une réduction du nombre de cheveux par follicule et un rétrécissement de la durée des cycles. Le volume et la masse de la chevelure diminuent, sans prédiction possible du stade final.

Certains médicaments freinent la chute des cheveux sans l’arrêter totalement. C’est le cas notamment du Finastéride et du Minoxidil. Néanmoins, si vous souhaitez retrouver une chevelure dense et en pleine santé, seules les méthodes FUT et FUE ont véritablement été reconnues efficaces. Cette efficacité justifie amplement leur coût. Si vous envisagez une transplantation capillaire, veillez toutefois à choisir avec soin la clinique dans laquelle aura lieu l’opération.